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Le grand rendez-vous annuel des néphrologues sur Renaloo : les vidéos sont en ligne !

La 15ème réunion commune de la Société de Néphrologie et de la Société francophone de dialyse s'est tenue du 8 au 11 octobre 2013, à Nantes.

Cet important congrès réunit chaque année plus d'un millier de néphrologues francophones. C'est l'occasion pour eux de se retrouver, de faire le point sur les avancées médicales, de partagez leurs connaissances, de présenter leurs recherches et leurs résultats.

Ils ont accepté de répondre à nos questions ! Pour la première fois, Renaloo vous propose de retrouver les interviews vidéos des intervenants, qui nous racontent les nouveautés dans le domaine des maladies rénales, de la dialyse et de la greffe…

 

 

Le Pr Maryvonne Hourmant, présidente du congrès, revient sur ses moments forts… 

La Polykystose rénale, par le Pr Yann Lemeur

L'adaptation du traitement immunosuppresseur, par le Pr Claire Pouteil-Noble 

L'activité physique en dialyse, par le Dr Anne Kolko

L'accès à la liste d'attente de greffe rénale en France, par le Dr Lionel Couzi

Télémédecine et insuffisance rénale chronique, par le Pr Philippe Zaoui

L'éducation thérapeutique pour la greffe de donneur vivant, par le Dr Laure Esposito

Une vision économique de la dialyse, par le Dr Jacques Chanliau

Le retour en dialyse après la fin d'une greffe, par le Pr Christian Hiesse

 

La néphropathie à IgA ou maladie de Berger, par le Pr Christophe Mariat

Ethique : le patient acteur de sa recherche, par le Dr Catherine Dupré-Goudable

 

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4 Commentaires

  • Bonjour,
    je viens de regarder les vidéos.
    Les paroles du Pr Hiesse devraient me réconfortées.
    Tous les médecins, dans ces vidéos, parlent très bien, mais la réalité est bien différente.
    Greffée rénale depuis 29 ans, je suis en phase terminale 4. Je dois me faire des injections EPO tous les 8 jours, hémoglobine à 9,7.
    La douleur au quotidien, ou plutôt les douleurs, n’intéresse personne.
    Et quand je dis à mon médecin que je ne retournerai pas en dialyse, elle me répond que je n’ai pas le choix.
    Je lui réponds : on a toujours le choix !
    Bonne journée à vous les biens portants.

  • Ne soyez pessimiste ! 29 ans de greffe c’est super chouette ! Accepter le retour en dialyse ce n’est pas renoncer à une autre greffe…vous avez eu le courage pendant toutes ces années de prendre le traitement ….on sait bien que ce n’ai qu’un mode de traitement ,
    Regarder devant vous peut-être que votre retour en dialyse sera pour vous pénible je n’en doute pas ….mais il y a 29 ans jamais vous n’auriez imaginer que cette greffe dure aussi longtemps ne baisez pas les bras maintenant .
    J’ai été greffée 14ans, je suis de retour en dialyse depuis 7 ans, je termine. Mon bilan près greffe pour me réinscrire ….. Je suis fière de ma greffe qui à marcher pendant 14 ans
    La dialyse a bien changé aujourd’hui, beaucoup plus d’écoute, …
    Moi se n’ai pas la dialyse que m’a fait peur c’est la façon d’y retourner ! Je vous comprends tellement bien ! Bon courage .

  • Pessimiste moi, c’est mal me connaître.
    Réaliste est le mot juste.
    Ce n’est pas du courage que de prendre des médicaments, des tas de gens prennent des médicaments, c’est juste une obligation.
    Et dire que “la dialyse a bien changé aujourd’hui”, je ne suis pas d’accord non plus. Je rencontre des dialysés et il ressemble à des dialysés d’il y a 30 ans : la même tristesse dans le regard.
    Vous écrivez encore “beaucoup plus d’écoute”. Ce n’est pas mon genre de m’apitoyer sur mon sort devant les autres ; très peu de personnes savent que je suis gravement malade. Car pour la grande majorité des gens, les malades sont à fuir comme la peste. Je le sais, je l’ai vécu, je le vis.

    Vous avez vos opinions, je garde mes miennes. La dialyse sera toujours pour moi synonyme de déchéance.
    Cordialement,

  • je ne sais si les médecins parlent bien d’une réalité qui ne correspondraient pas à leurs paroles. L’exercice de video est court, il faut dire l’essentiel en peu de temps. Concernant le pf Hiesse, il n’a qu’une minute pour développer un thème, celui de la difficulté contre-intuitive du retrait du greffon.
    La rechute est plus dure que la première chute, car on croyait s’être relevé, et trente ans après on repart à zéro dans une vie où l’on a pris plus de responsabilités, et les années passées qui rendent plus difficiles le cumul de contraintes lié au traitement de la dialyse.
    Il fait une ouverture en expliquant qu’il faut se concentrer et préparer le coup suivant.
    Il est vrai que, dans une situation à peu près similaire, j’avais peu d’espoir lors de la première greffe, et que maintenant, plus de trente ans après, j’aurais trop d’impatience lorsque la deuxième sera nécessaire.

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