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Dialyse, greffe, quelle qualité de vie ? une vidéo Renaloo TV, en partenariat avec le Club des Jeunes Néphrologues

 La qualité de vie est définie comme : "la façon dont les individus perçoivent leur position dans la vie, dans le contexte de la culture et du système de valeurs dans lesquels ils vivent et en relation avec leurs buts, attentes, normes et préoccupations. Il s’agit d’un concept large, qui intègre de façon complexe la santé physique d’une personne, son état psychologique, son degré d’indépendance, ses relations sociales, ses convictions personnelles et sa relation avec des éléments importants de l’environnement."*

 Serge Briançon, professeur émérite à l'Ecole de Santé Publique de Nancy revient pour Renaloo TV sur les résultats de l’enquête QuaviRein, dont il est l'investigateur principal, et en particulier sur les différences de qualité de vie mesurées entre la population générale et les patient.e.s dialysé.e.s ou greffé.e.s.

➡️  QuaviRein a permis d'identifier les différents facteurs qui influencent la qualité de vie des personnes dialysées et greffées et donc les moyens pour l’améliorer.

➡️  Serge Briançon rappelle que la manière la plus efficace pour améliorer la qualité vie des personnes dialysées est de leur permettre d’être greffées.

Cette vidéo Renaloo TV a été réalisée en partenariat avec le Club des Jeunes Néphrologues et a bénéficié d'un financement par le fonds national pour la démocratie en santé.

  

*Quality of Life Assessment. The WHOQOL Group, 1994

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1 Commentaire

  • Le constat est sans appel, il faut favoriser l’accès à la greffe.Pour ce qui concerne les dons du vivants, je crois qu’on a observé une diminution des interventions l’an passé.En connait-on les causes? Assurément, c’est la meilleure solution médicale mais elle appelle des questions sur les volontaires chez qui on découvre une contre-indication au cours du parcours,ceux qui pourraient regretter d’avoir donné( dans ce cas ont-ils eu la possibilité de s’exprimer a posteriori- autant dans bon nombre de situations cela semble harmonieux et couler de source- quand je vois le nombre de couples qui se séparent avec fracas et ressentiment après avoir eu des enfants, donc avoir cru à l’avenir de leur couple, je m’interroge ? Pourtant, d’autres pays font beaucoup mieux. Pourquoi? Et puis, je ne peux m’empêcher de penser à ces jeunes en dialyse pour lesquels aucun proche ne veut prendre le risque, double peine et l’on peut mesurer leur amertume à la lecture de certains témoignages). Donc, il conviendrait de faire baisser le taux des refus de prélèvement sur donneurs décédés de 30% à 20 % comme celui de l’Espagne.A-t-on une idée de ce qui conduit nos voisins à accepter plus facilement?Je crois que , malgré les dernières lois,en France, les médecins ne passent pas outre au souhait de la famille Ne faudrait-il pas instituer un témoignage de distinction morale pour le défunt qui va permettre de sauver des vies, cérémonie, médaille, que sais-je? Bien sûr que la majorité des proches n’a pas besoin de cela pour accepter mais l’homme a tant besoin de reconnaissance sociale qu’on peut se demander si cela ne motiverait pas certains.Pour moi, le problème se situe essentiellement là. La perspective de 10% de donneurs supplémentaires devrait inciter à chercher à comprendre les raisons du refus et à tenter d’y parer.Qu’est-il-fait dans ce domaine?

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