La greffe à partir d’un donneur vivant
3.782 greffes rénales ont été réalisées en France en 2017. Parmi elles, 16% (611) provenaient d’un donneur vivant. Ce taux a progressé ces dernières années, mais reste très inférieur à ceux d’autres pays : la greffe de donneurs vivants représente 24% de l’ensemble des transplantations rénales en Autriche, 31% au Royaume Uni, 32% en Suède, 41% au Danemark, ou encore 57% aux Pays Bas.
Pourtant, les risques pris par le donneur sont très faibles, tandis que pour le receveur, les avantages sont considérables, puisque ce sont les greffes qui fonctionnent le mieux et le plus lontemps.
Panorama sur une solution méconnue et insuffisamment proposée aux patients et à leurs proches... Probablement ont-ils leur rôle à jouer pour que cette situation évolue.
Quelques ressources utiles :
- la brochure "La greffe rénale de donneur vivant, et si on en parlait ?" éditée par Renaloo
- le "guide de prise en charge financière des donneurs vivants" édité par l'Agence de la biomédecine, qui comporte beaucoup d'informations techniques et administratives utiles
- le dossier en trois parties sur le don du vivant publié par Médiapart en 2013
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